Installation de poésie concrète
Éco-performance collective
Par Aline Yasmin
Avec Valentin Charpentier, Cyprien Flaux, Claire Halama, Brotherhood, Sisterhood cultural centers et Trash Heroes projects.
Gili Meno, Lombok – Indonésie, déc. 2023
An artistic residency carried out in the Lombok archipelago, on the island of Gili Meno, dedicated to reflecting on the relationship between humans and the environment. It’s striking to see that contemporary society, in its current model of consumption and industrial production, leaves traces even in the most pristine paradises.
Plastic accumulates on beaches, in rivers, and along roadsides. That’s where I decided to take action. At first, I worked alone, picking up waste and reflecting on how we live in a sick society marked by a lack of love for nature and voracious habits that devour our planet. Then, a beautiful encounter took place with artists and activists — a meeting of souls with people who resonate with the desire for a more harmonious world.
The initial project, focused on the spiritual connection with nature, transformed into a collective action over several days with the local community and the Trash Hero project, aiming to raise awareness in the new generation about managing local pollution and, especially, the need to prevent it from persisting. The journey and the ephemeral beach installation titled Still Live, created from waste collected by everyone, were documented by filmmaker Cyprienfl with production by Valentin Charpentier.
Finally, part of the collected waste was used to write a phrase — a play on words I chose to record as a message: STILL LIFE.
It is still possible to bring meaning back to our path.
Yes, life endures and depends on us.
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Installation de poésie concrète
Éco-performance collective
Par Aline Yasmin
Avec Valentin Charpentier, Cyprien Flaux, Claire Halama, Brotherhood, Sisterhood cultural centers et Trash Heroes projects.
Gili Meno, Lombok – Indonésie, déc. 2023
Une partie de ma résidence en Indonésie a été consacrée à réfléchir à la relation entre l’homme et l’environnement. Il est dur de constater que la société contemporaine, dans son modèle actuel de consommation et de production industrielle, laisse des traces imaginables même dans les paradis.
Les plastiques s’accumulent sur les plages, dans les rivières, sur les routes. C’est là que j’ai décidé d’agir. Initialement seule, ramassant des déchets tout en réfléchissant à la manière dont nous vivons dans une société malade. Sur le manque d’amour pour la nature et la voracité des habitudes qui dévorent notre planète.
Jusqu’à ce qu’une belle rencontre ait lieu avec des artistes et des activistes. Une rencontre d’âmes avec des personnes qui vibrent pour un monde plus harmonieux.
Ensemble, nous avons effectué notre collecte de déchets avec le magnifique projet impliquant des enfants et des jeunes de l’île, @trashherogilimeno . Un mouvement qui me fait renforcer ma croissance que la nouvelle génération s’engage sur un chemin plus sain et conscient. Finalement, une partie de la collecte a servi à écrire la phrase un jeu de mot que j’ai choisi d’enregistrer comme message : STILL LIFE, “Nature Morte”
L’un des principaux genres (types de sujets) de l’art occidental – essentiellement, le sujet d’une peinture ou sculpture de nature morte est tout ce qui ne bouge pas ou est mort.
Toute ma gratitude à mon cher @cyprienfl qui a capturé ce moment avec tant de sensibilité et @valentin.charpentier91@brotherhoodgilimeno car sans lui cette rencontre n’était pas possible.
Mon cœur est encore à #gilimeno et et ses habitant.e.s si captivant.e.s. qui me manquent pour toujours.